Depuis 2005, le nombre de catastrophes naturelles qui ont frappé l’Europe de l’Ouest a provoqué des dommages conséquents dont la prise en charge revient aux assureurs. L’augmentation des coûts entrainera probablement la hausse des primes d’assurance.
Bilan des catastrophes naturelles en Europe de l’Ouest
Le Royaume-Uni et l’Europe du Nord ont été balayés par Erwin en 2005. En 2007, le Pays-Bas et l’Allemagne sont frappés par Kyrill. En 2009, Klaus et Quinten se succèdent et balayent la France. La Tempête Xynthia a soufflé sur l’ouest de la France le 28 février 2010 et les assureurs devront au moins débourser 1,5 milliard d’euros pour couvrir les dégâts. D’ailleurs, toutes les catastrophes naturelles précédemment citées (à part Quinten) ont coûté plus d’un milliard d’euros aux assureurs. La tempête Klaus a par exemple coûté 1,68 milliard d’euros aux compagnies d’assurance.
Estimation qui conduit vers la hausse des primes d’assurance
Il faut savoir que la succession de ses catastrophes a occasionné des dépenses exorbitantes. Avant même d’évaluer les dégâts provoqués par les tempêtes Klaus et Xynthia, la Fédération Françaises des sociétés d’assurance (FFSA) a déjà prévu de doubler le montant des indemnisations pour les catastrophes naturelles sur les deux décennies à venir. Ceci afin de mieux assister les assurés lors des sinistres. Si les tempêtes, les inondations et les sécheresses ont coûté plus de 30 milliards entre 1988 et 2007, les assureurs devront donc débourser 60 milliards de 2007 à 2030.
En se basant sur des faits historiques et des formules mathématiques complexes qui permettent de mesurer l’impact des catastrophes naturelles, des scientifiques ont indiqué, vers la fin de l’année 2009, que le nombre de tempêtes est en baisse, mais le nombre d’évènements sérieux est en hausse.
Cependant, si les assureurs doivent optimiser le montant des couvertures octroyées en cas de sinistre, une hausse des primes d’assurance (/) est à prévoir même si la recrudescence des catastrophes naturelles ne sera pas constante. La tendance à la hausse commence déjà en 2010, si l’on compare les primes d’assurance de janvier à ceux du mois d’avril, on remarque une augmentation des tarifs dans le cadre de l’assurance dommages. Une grande majorité des assureurs adoptera sans doute cette tendance.
Bilan des catastrophes naturelles en Europe de l’Ouest
Le Royaume-Uni et l’Europe du Nord ont été balayés par Erwin en 2005. En 2007, le Pays-Bas et l’Allemagne sont frappés par Kyrill. En 2009, Klaus et Quinten se succèdent et balayent la France. La Tempête Xynthia a soufflé sur l’ouest de la France le 28 février 2010 et les assureurs devront au moins débourser 1,5 milliard d’euros pour couvrir les dégâts. D’ailleurs, toutes les catastrophes naturelles précédemment citées (à part Quinten) ont coûté plus d’un milliard d’euros aux assureurs. La tempête Klaus a par exemple coûté 1,68 milliard d’euros aux compagnies d’assurance.
Estimation qui conduit vers la hausse des primes d’assurance
Il faut savoir que la succession de ses catastrophes a occasionné des dépenses exorbitantes. Avant même d’évaluer les dégâts provoqués par les tempêtes Klaus et Xynthia, la Fédération Françaises des sociétés d’assurance (FFSA) a déjà prévu de doubler le montant des indemnisations pour les catastrophes naturelles sur les deux décennies à venir. Ceci afin de mieux assister les assurés lors des sinistres. Si les tempêtes, les inondations et les sécheresses ont coûté plus de 30 milliards entre 1988 et 2007, les assureurs devront donc débourser 60 milliards de 2007 à 2030.
En se basant sur des faits historiques et des formules mathématiques complexes qui permettent de mesurer l’impact des catastrophes naturelles, des scientifiques ont indiqué, vers la fin de l’année 2009, que le nombre de tempêtes est en baisse, mais le nombre d’évènements sérieux est en hausse.
Cependant, si les assureurs doivent optimiser le montant des couvertures octroyées en cas de sinistre, une hausse des primes d’assurance (/) est à prévoir même si la recrudescence des catastrophes naturelles ne sera pas constante. La tendance à la hausse commence déjà en 2010, si l’on compare les primes d’assurance de janvier à ceux du mois d’avril, on remarque une augmentation des tarifs dans le cadre de l’assurance dommages. Une grande majorité des assureurs adoptera sans doute cette tendance.
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